Nous sommes toujours plus nombreux à le dire, priver d’accueil les demandeurs de protection internationale est gravement contraire à la dignité des femmes et des hommes concernés. C’est leur faire profondément violence. C’est mettre en péril leur accès effectif à l’asile. C’est signer un abandon institutionnel.
Nous sommes toujours aussi nombreux à le faire, convaincus que l’Etat belge peut se donner les moyens de gérer autrement cette situation, nous cherchons ensemble les moyens de convaincre les autorités belges de reprendre le chemin vers le respect de leurs obligations internationales.
Onze associations s’expriment ici.